La carrière a été exploitée et remblayée. Des plants y ont été plantés, conformément au cahier des charges – pas grave si ils végètent, dès l’instant ou ils ont été plantés, tout est en ordre.

On oublierait presque qu’il y a eu une carrière à cet endroit si ce n’est les deux blocs de pierre qui matérialisent l’entrée de l’exploitation. Le chemin d’accès depuis la route a été cultivé.

Quand à la grande source, ma fois, il y a bien longtemps qu’on n’y a pas vu l’eau couler. Les tirs de mine n’y sont sans doute pas étrangers. Le comble, c’est qu’il y a un captage d’eau à proximité. Celui là l’a échappé belle.

On se demande comment Ecureuil Pelé a eu l’autorisation d’y exploiter une carrière. Sans doute quelques appuis ou un commissaire enquêteur un peu myope.

Le fait est. Pour son intérêt personnel Ecureuil Pelé n’a pas hésité à saccager un haut lieu du patrimoine historique de la région.

Si le parc national avait été en place à cette époque, il est clair qu’Ecureuil Pelé n’aurait jamais eu l’autorisation d’exploiter une carrière à cet endroit.

On comprend maintenant pourquoi Ecureuil Pelé est un opposant au parc.

Ecureuil Pelé revendique son droit de pillage.

Mais pour ceux qui n’auraient toujours pas compris qui est Ecureuil Pelé　……….c’est le vice président du grand pays chargé du patrimoine……..

Et non, ce n’est pas une blague. C’est simplement que Petit Lapin et Ecureuil Pelé ont une notion particulière du mot  patrimoine.